Admettre
Origine
- …
- API : /ad.mɛtʁ/
- SAMPA : /ad.mEtR/
( Il se conjugue comme METTRE.)
Verbe
admettre transitif
- Recevoir par choix, faveur ou condescendance.
- Admettre aux ordres sacrés.
- Admettre quelqu’un dans une société, dans une compagnie, à sa table.
- Admettre quelqu’un au nombre de ses amis.
- Admettre à la communion de l’église.
- Admettre à la participation des sacrements.
- Il fut admis à l’audience du Prince.
- Admettre quelqu’un à se justifier, Permettre qu’il expose ce qui peut le justifier, consentir qu’il se justifie dans les formes.
- On dit aussi, en termes de Palais,
- Admettre quelqu’un à faire preuve, admettre à la preuve.
- Admettre quelqu’un à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
- Admettre les raisons, les excuses de quelqu’un, Les recevoir pour bonnes, pour valables.
- On dit dans le même sens
- Admettre une requête.
- Reconnaître pour véritable.
- Les philosophes admettent pour principe que… Les philosophes n’admettent plus les qualités
- Occultes.
- C’est un fait que je n’admets pas, que je ne puis admettre.
admettre transitif
- Figurément e parlant des choses.
- Cette affaire n’admet point de retard, Ne doit souffrir aucun retard.
- Cette substance admet dans sa composition tel élément, Il entre tel élément dans sa composition.
admis
- Se dit particulièrement comme adjectif ou comme nom des candidats qui, ayant subi avec succès jusqu’à la fin toutes les épreuves d’un concours, obtiennent le diplôme, entrent à l’école ou parviennent à la fonction qui se recrute ainsi.
- Il n’y a eu que trois élèves admis sur dix.
- La liste des admis est affichée.